Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Les derniers jours d'un homme

26/03/2010 12:57

Les derniers jours d'un homme


Edition : Rivages 

Edité le 03-03-2010 

240 p 

ISBN : 9782743620684 

Résumé  
Une cité industrielle du Nord-Pas-de-Calais où la pollution a tout gangrené, une cité séparée du monde "sain et normal" par une autoroute, une cité qu’on ne quitte pas, sinon pour aller au cimetière.A quinze ans d’intervalle, deux voix se répondent. Celle d’un père, Clément, et celle de sa fille Judith. Ce sont des voix endeuillées. Clément raconte la mort de sa jeune épouse et l’horreur de l’usine qu’il finit par quitter, pour arriver au drame qui va tout faire basculer. Judith, elle, est âgée de dix-huit ans et orpheline. Elle parle de sa vie avec son oncle Etienne, qui l’a élevée, et cherche à éclaircir le mystère de la mort brutale de son père. L’usine n’est plus là ; il n’en reste que des traces indélébiles : crassiers, pollution des sols et des cours d’eau, maladies et chômage. Cette usine était la vie des gens, leur gagne-pain, elle a aussi été leur mort.  
Avis 
L’histoire de cette famille décimée, c’est celle de toute une communauté victime de pratiques industrielles dévastatrices et de cynisme d’affairistes voyous. Romancier de l’intime et du réel, Pascal Dessaint évoque le scandale de l’usine Metaleurop à Noyelles Godault, qui fut liquidée sans préavis pour les salariés et rasée.Avec ce roman choc sur un drame écologique et humain d’une rare ampleur, Pascal Dessaint élargit encore sa palette de romancier noir. Il quitte cette fois le pays toulousain pour renouer avec ses origines d’homme du Nord. Entre révolte et compassion, ni le ton ni le fond de ce livre ne peuvent laisser indifférent. 





BD

26/03/2010 12:51

BD


Noël noir, une aventure de Lefranc
d'aprés Jacques Martin
 
Identifiant : 95437  
Scénario : Michel Jaccquemart  
Dessin : Regric  
Paru  le 7/10/2009  
Edition : Casterman  
ISBN : 978-2-203-01473-2  
46 planches
 
Résumé de l'album :
23 Décembre 1955. Après avoir affronté le « Maître de l’Atome », Guy Lefranc retrouve son ami l’inspecteur Renard dans une localité minière entre Lens et Marchiennes, dans le bassin houiller du Nord-Pas-de-Calais. Le journaliste vient couvrir un événement dramatique : une tentative désespérée de sauver des mineurs bloqués dans leurs galeries par plus de 900 mètres de fond. Quant au policier, en mission pour Interpol, il est venu arrêter un redoutable terroriste qui se cache parmi le personnel de la mine. Les circonstances vont générer un dilemme inattendu : il s’avère bientôt que cet homme représente le seul espoir de sauver les mineurs coincés sous terre !
Une haletante course contre la montre s’engage. Dans le labyrinthe des galeries dévastées, les acteurs de ce huis clos oppressant vont vivre une véritable descente aux enfers. Chacun a rendez-vous avec ses propres démons…
Avis :
Après le succès du Maître de l’Atome, Michel Jacquemart livre, sur fond de guerre froide, son deuxième épisode des aventures de Guy Lefranc à l’époque de La grande menace. Il y décline avec brio le souffle dramatique et le sens de l’Histoire que Jacques Martin a insufflés à toutes ses séries. Régric, déjà auteur de trois Voyages de Lefranc consacrés à l’histoire de l’aviation, lui donne magistralement la réplique en images, dans un style proche du travail réalisé autrefois par Bob de Moor sur un autre épisode de la série, Le Repaire du loup.





Itinéraire dans la France d’en bas, d’en haut et d’ailleurs

25/03/2010 20:37

Itinéraire dans la France d’en bas, d’en haut et d’ailleurs


Itinéraire dans la France d’en bas, d’en haut et d’ailleurs
de Philippe Séguin
 
Broché : 624 pages
Editeur : Seuil
Collection : Journal
Langue : Français
ISBN-10 : 202059644X
ISBN-13 : 9782020596442 
 
 
« J’ai souhaité, d’abord, partir à la redécouverte de ma propre histoire, d’autant qu’il est des phases d’une vie qui sont si remplies et si intenses qu’on n’a pas immédiatement le temps de les transformer en souvenirs. J’ai eu la chance d’en vivre. [...] Par goût et par nécessité, j’ai saisi l’occasion qui m’était ainsi offerte de dire comment j’avais vécu ces événements auxquels je n’avais pas forcément pris ma part mais qui me marquèrent en même temps qu’ils façonnèrent le monde tel qu’il est devenu. » Ph. Séguin.
Président en exercice de la Cour des Comptes, Philippe Séguin est décédé le 7 janvier 2010.
 
Mot de l'éditeur
 
De l’enfance tunisienne aux sommets de l’État, Philippe Séguin raconte un itinéraire atypique, en marge de la noblesse d’État. Mousquetaire de la République, il a combattu Mitterrand et croisé le fer avec Chirac, cherché ses références entre Mendès France et De Gaulle. Grâce à ces souvenirs, on prend la mesure d’une démarche, rejetée par la classe politique, faite de rigueur, de convictions et de fidélité.





Les 17% qui font peur à Nicolas Sarkozy

25/03/2010 20:23

Les 17% qui font peur à Nicolas Sarkozy


Un remaniement technique dès lundi, une réunion avec les parlementaires UMP mardi, un mini-discours de politique générale mercredi : le président de la République fait feu de tout bois pour faire face à la déroute des régionales. Il faut dire que sa réélection semble de plus en plus improbable.

Ces 17% qui en disent long

En effet, en tenant compte des 49% d'abstention au second tour et des 4% de vote blanc (en forte hausse par rapport au premier tour), les 36% obtenus par l'UMP au second tour des élections régionales ne représentent que 17% des électeurs inscrits. Les 54% obtenus par la gauche ne représentent qu'un peu plus de 25% des inscrits, ce qui relativise sa victoire. On peut mettre ce chiffre en parallèle avec les plus de 40% des inscrits qui avaient voté pour Nicolas Sarkozy au second tour des élections présidentielles pour comprendre le chemin parcouru depuis mai 2007.
Ce chiffre est d'autant plus inquiétant qu'il s'agit d'un score de second tour. Le désamour vis-à-vis de Nicolas Sarkozy est extrêmement fort, comme le montre ce sondage qui indique que seulement un gros tiers des Français souhaitent la victoire de la droite en 2012. Pire, le président sortant n'est même pas le candidat favori à droite, François Fillon et Dominique de Villepin lui faisant de plus en plus d'ombre. En fait, plus le temps passe, plus Nicolas Sarkozy perd des soutiens et se renferme sur une fraction de plus en plus petite de l'électorat sans jamais gagner de nouveaux soutiens.

L'impossible relance

Tout le problème du président est que sa rhétorique ne supporte guère un changement de cap car cela reviendrait à remettre en cause l'ensemble de l'action passée. Il a passé l'épreuve du remaniement avec une certaine habileté, réussissant à éviter de se déjuger en renvoyant les ministres venus de la gauche et en apportant une dose de sang neuf symbolisant l'ouverture à l'ensemble de sa majorité avec la venue du chiraquien François Baroin et du villepiniste Georges Tron. Ce geste d'apaisement lui permet de limiter les critiques internes et de montrer une plus grande capacité de rassemblement.
Hier, il a précisé l'agenda pour les deux ans à venir. Le gros morceau sera à coup sûr la réforme des retraites, pour laquelle son discours marque un vrai équilibre entre nécessité de réforme et souci de concertation. Mais, à part ce gros morceau, il était étonnant de constater la minceur du reste de l'agenda. En effet, la taxe carbone est repoussée sine die. L'annonce sur la PAC se fait à contretemps puisque l'essentiel de la Politique Agricole Commune a déjà été démantelée, notamment le prix de soutien. Est-ce à dire que le président est prêt à demander un retour en arrière ?
La dialectique si volontariste du candidat lui pose un problème. En refusant de véritablement se remettre en question, il s’enferme dans un réduit chaque jour plus limité. Un peu plus de modestie et de recul sur son action lui permettrait sans doute un nouveau départ. Mais en est-il capable ?
Laurent Pinsolle





La dénucléarisation du Moyen-Orient comme solution à l’ambition nucléaire de l’IRAN ?

25/03/2010 20:12

La dénucléarisation du Moyen-Orient comme solution à l’ambition nucléaire de l’IRAN ?


  • par Pierre PASCALLON

 

moyen-orient-guerre-iran A l’heure où le Président OBAMA a entamé, on le sait, une véritable « croisade » –le terme n’est sans doute pas excessif- pour la disparition totale des armes nucléaires de la planète, on en peut pas ne pas penser –pour contrer l’ambition nucléaire de l’IRAN- à la dénucléarisation du Moyen-Orient ; on ne peut pas ne pas envisager –on y pense forcément- lorsqu’on cherche à diminuer la menace de la prolifération nucléaire et –nous sommes bien dans ce cadre-, à la création, dans cette partie du monde, d’une « zone exempte d’armes nucléaires » (ZEAN) dont l’Assemblée générale des Nations Unies s’est attachée en 1975 à donner une définition : « territoire regroupant plusieurs ETATS qui dans l’expression libre de leur souveraineté décident d’établir par l’intermédiaire d’un traité une zone délimitée totale dénucléarisée ». On rappelle brièvement que l’idée de ces ZEAN a été au départ soviétique. En 1956, Moscou propose de limiter sinon d’interdire le déploiement d’armes nucléaires en Europe pour circonscrire l’installation –effective dès 1954- des premières bombes américaines sur le sol du Vieux Continent. L’idée va être reprise en 1958 par un député polonais Adam RAPACKI –on parlera du plan RAPACKI- qui proposera de constituer une zone dénucléarisée en Europe Centrale (Pologne, Tchécoslovaquie, …) comprise comme un territoire « tampon » entre les forces de VARSOVIE et celles de l’OTAN.
Il y a eu –en une vingtaine d’années environ- multiplication de ces zones exemptes d’armes nucléaires avec, pour chacune, un traité multilatéral : Amérique Latine et Caraïbes et Traité de TLATELOLCO en 1967,… Six ZEAN sont ainsi actuellement en vigueur concernant avant tout les pays de l’hémisphère Sud. Force est de reconnaître en effet que ces ZEAN ont beaucoup plus de mal à se mettre en place dans l’hémisphère Nord, en Europe, en Asie, … et au Moyen-Orient.
Le Moyen-Orient ? Depuis 1974, L’Assemblée générale des Nations Unies adopte chaque année une résolution demandant la création d’une ZEAN au Moyen-Orient. Ce fut encore le cas en octobre 2008. Pareillement, depuis quelques années, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) vote à son tour à son assemblée générale une résolution « appelant tous les Etats du Moyen-Orient à renoncer à l’arme atomique ». Et on sait que ce projet d’un Moyen-Orient militairement dénucléarisé est tout particulièrement soutenu par les Etats arabes de la Région : l’Egypte, l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, … Récemment encore –les 29-30 septembre 2009- s’est tenue au Caire une conférence internationale pour envisager à nouveau l’éventualité de faire du Moyen-Orient une zone exempte d’armes nucléaires. Comment y parvenir ? Il faut, pour ce faire, prendre en considération le cas de l’Etat hébreu qui est une puissance nucléaire de fait et le cas de l’Iran qui veut se dénucléariser. Et convaincre simultanément Israël de se défaire de son arsenal nucléaire et l’Iran de renoncer à s’en doter.
Est-ce possible ? On peut en douter.
· Et d’abord il est difficile d’imaginer convaincre Israël de renoncer à son arsenal nucléaire même si on parvient à l’assurer que l’IRAN ne se dotera pas du nucléaire militaire.
L’ETAT hébreu doit en effet impérativement se préoccuper de sa survie –dès lors que certains ne reconnaissent pas son existence quant ils ne souhaitent pas ouvertement sa disparition-, et comme tout ETAT, l’Etat juif doit assurer sa défense nationale, avec les instruments qui lui paraissent le plus adéquat pour se faire. Dans cette perspective, il est clair que l’Etat juif ne peut s’en remettre uniquement au conventionnel. En effet, l’étroitesse du territoire israélien, son absence de « profondeur stratégique » –pour reprendre une expression beaucoup usitée-, le rendent très vulnérable à une attaque conventionnelle conduite avec succès. Et il n’est pas dit qu’à terme TSAHAL –dont les récents conflits au LIBAN, à GAZA ont montré les limites- soit toujours capable, compte tenu de l’évolution des rapports de forces démographiques … et conventionnels dans la Région, d’assurer à ISRAEL une supériorité incontestée.
Le nucléaire militaire est donc bien pour TEL AVIV « sa » garantie indispensable, « son » assurance vie. ISRAEL peut-il donc vraiment dans ces conditions renoncer à son « ambigüité » sur le nucléaire militaire : « never confirmed or denied », reconnaître ouvertement, alors qu’il n’est pas membre du TNP (Traité de non prolifération), qu’il est en possession de l’arme nucléaire… et, à partir de là, accepter sa dénucléarisation ? Difficile on le pressent, de donner à ISRAEL des garanties –après s’être dessaisi du nucléaire… aussi fortes que la « garantie-assurance vie » apportée à l’Etat hébreu par son nucléaire. On a pensé -en contrepartie de sa renonciation au nucléaire- proposer à ISRAEL d’intégrer l’OTAN pour bénéficier des garanties apportées aux signataires par l’article 5 du Traité de WASHINGTON. Mais, comment ISRAEL peut-il être sûr que l’article 5 jouera en cas de guerre au Moyen Orient alors que l’on sait que les Etats-Unis comme l’Europe ont un intérêt vital à maintenir de bonnes relations avec le monde arabe ? Serait-ce vraiment différent dans le cadre d’un accord de défense bilatéral Etats-Unis – Israël qui comprendrait une garantie des américains en cas d’attaque nucléaire contre l’ETAT hébreu ?
· On ne voit pas davantage –ayant éventuellement obtenu l’accord de TEL AVIV- que TEHERAN puisse désormais renoncer de façon concomitante à son effort tendu pour se doter de la bombe.
L’IRAN ne veut pas en effet la bombe pour contrebalancer la puissance nucléaire israélienne : le programme nucléaire de TEHERAN n’a pas eu pour origine la bombe israélienne ; pas davantage au vrai l’IRAN n’entend se doter de la bombe pour détruire ISRAEL, TEHERAN sachant très bien qu’un offensive nucléaire contre TEL AVIV lui vaudrait des représailles mortelles. Les harangues du Président iranien pour rayer ISRAEL de la carte ont avant tout une finalité interne, le programme nucléaire iranien représentant pour le régime un sujet d’unanimité nationale, et de fierté.
Au vrai, TEHERAN veut la bombe pour pouvoir à l’avenir, quoi qu’il arrive, « sanctuariser » son territoire et afficher simultanément, sa puissance.
- La bombe pour sanctuariser son territoire ?
Les iraniens ont été traumatisés par leur conflit avec l’IRAK qui a laissé chez eux des traces très douloureuses : un million de morts et des milliers de personnes mutilées. Ils ont à cette occasion ressenti péniblement leur « solitude stratégique », TEHERAN étant convaincu que Saddam HUSSEIN avait lui bénéficié de la sollicitude des occidentaux alors qu’il devait lui se battre sans alliés dans un Moyen Orient hostile. Les iraniens sont donc convaincus qu’un tel conflit ne pourra pas se renouveler dès lors qu’ils possèderont la bombe nucléaire garantie de leur intégrité territoriale et de leur indépendance nationale.
- La bombe pour sanctuariser donc leur territoire et afficher, simultanément, militairement leur puissance ?
Il est sûr que la bombe nucléaire est pour aujourd’hui et pour demain encore l’expression militaire contemporaine de la force, du pouvoir, de l’invincibilité ; le « marqueur » de l’accès à la modernité et de l’ascension au statut de « grand ». L’IRAN, vieille nation de 3 000 ans, est à retrouver au Moyen Orient une position dominante ; elle est en effet dans ce cadre géographique le pays le plus peuplé et le plus éduqué, technologiquement en pointe, disposant d’avoirs financiers importants. Il s’agit bien pour elle, en se dotant de la bombe nucléaire, de confirmer sur le plan de la défense sa position de puissance démographique et économique majeure du Moyen Orient, en passe de rentrer dans le cercle restreint des « puissances globales ».
Au total –on espère en avoir convaincu- on a peu de chance malheureusement de persuader TEHERAN de stopper ses efforts pour se doter de la bombe dans le cadre d’une stratégie de dénucléarisation de l’ensemble du Moyen Orient qui va rester demain comme hier une solution irréaliste sinon impossible.





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